Outil 8 du livre "Des Outils pour la GPI" de JL Brissard et M Polizzi aux éditions AFNOR Gestion 1990.

Outil : " Feed-back "


  1. Objectif
  2. Désignations similaires
  3. Origine
  4. Domaines et contraintes d'utilisation
  5. Méthodologie
  6. Applications
  7. Conclusion
  8. Pour aller plus loin

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1. OBJECTIF

L'outil appelé "Feed-Back" (ou boucles de rétroaction) a pour but d'améliorer l'organisation du système de gestion de production en intervenant sur le flux d'informations.

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2. DESIGNATIONS SIMILAIRES

La méthode SADT poursuit le même type d'objectif.

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3. ORIGINE

C'est vers 1950 qu'eurent lieu les premières applications systémiques dans le domaine industriel. Cette approche des problèmes, différente de celle autorisée par l'analyse cartésienne, permit d'aborder la complexité sans cesse croissante de l'environnement industriel.
Depuis, de nombreuses méthodes ont été développées en s'appuyant sur la démarche systémique. Citons entre autres :

Parmi les grands courants de la systémique, la branche "cybernétique" étudie surtout le flux d'informations et, actuellement, s'applique à tous les domaines de la gestion.

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4. DOMAINES ET CONTRAINTES D'UTILISATION

Cet outil, que l'on peut considérer comme "conceptuel", est particulièrement difficile à étudier. Le lecteur doit bien garder à l'esprit que la systémique, et donc ses applications, sont souvent considérées comme une "nouvelle culture".
Il est d'ailleurs vivement conseillé de compléter l'étude de ce chapitre en se référant aux clefs page 267 et à la bibliographie.
Rappelons les principales définitions liées à l'approche système, c'est-à-dire la systémique :

Cet outil ne concerne qu'une partie de la démarche cybernétique : celle qui permet d'améliorer le système entreprise d'un point de vue de la communication, c'est-à-dire l'aspect organisation des flux d'informations.
Les principaux domaines d'utilisation sont :

La principale contrainte d'utilisation, pour une entreprise, est de connaître sa politique à moyen et long terme, c'est-à-dire sa stratégie. Dans le cas contraire une analyse préalable du besoin (voir page 17) permettra de l'obtenir de façon rigoureuse.
Enfin, le travail en groupe est recommandé, afin d'augmenter l'objectivité de l'analyse.

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5. METHODOLOGIE

  1. Comprendre le système étudié
  2. niveau de définition
    stratégie
    performances
    objectifs
  3. Modéliser la structure du système
  4. Reporter les flux
  5. Rendre le système observable
  6. Installer les feed-back

Avant d'aborder par l'exemple la méthodologie, nous allons passer en revue certaines étapes de la démarche, en mettant en évidence les particularités liées aux axiomes et aux principes de la systémique.

Etape 1 : Comprendre le système étudié
a- Niveau de définition
Pour bien "comprendre" un système, il faut déterminer les limites physiques de sa structure. De plus, comme le système étudié est en général un sous-système de l'entreprise, il faut le situer par rapport au système global. Pour cela, la technique que nous utiliserons est celle du cône de définition dont voici le principe :

La technique du Cône de définition consiste à définir globalement la structure de l'entreprise (le niveau zéro de définition ou niveau supérieur) puis à descendre, de niveau en niveau, jusqu'à atteindre celui du sous-système considéré qui contient l'élément de l'étude.

Ce que l'on peut visualiser par le graphique suivant :

Attention, cette méthode peut être dangereuse si l'on ne tient pas compte du principe de "totalité".

b- Stratégie
Le principe de totalité est que la somme des optimums locaux n'est pas l'optimum du système global
Ce principe de la systémique met en évidence que plus l'étude sera partielle, plus elle risque d'être inexacte. C'est pourquoi il faut toujours partir du système le plus général possible, soit l'entreprise dans notre cas, et descendre progressivement vers l'élément qui nous intéresse tout en gardant comme objectif l'optimum global. Et c'est ici qu'intervient la notion de stratégie. En effet, si l'on veut, à tous les niveaux de l'étude et de l'entreprise, s'organiser pour atteindre l'optimal global, il est préférable de l'avoir exprimé sous forme de stratégie.
La stratégie du niveau zéro sera la même tout au long de l'analyse descendante.

Etape 2 : Modéliser la structure du système
Il convient maintenant de choisir avec pertinence les éléments du système sans viser une connaissance exhaustive ni réduire la variété en vue de simplifier. Pour ce travail l'analogie avec une structure de l'entreprise est possible, et d'une façon générale, toute analogie, en systémique, est recommandée.
La validité d'un schéma, d'un modèle, dépend de l'usage que l'on veut en faire et par conséquent du besoin qui l'a dicté.
Pour mener à bien cette schématisation, il faut raisonner en fonction de la stratégie. En effet, la schématisation d'un système n'est pas unique, et le choix d'une représentation plutôt qu'une autre doit se faire en fonction du but. A l'instant où le schéma sera au point, il deviendra "modèle" puisque support privilégié de toute réflexion future.
Au cours de l'étude, la structure du modèle peut s'avérer inadaptée, il faudra alors reprendre l'étude à cette étape 2. Mais attention, dire que la structure n'est pas bonne ne signifie pas obligatoirement que l'implantation physique des services soit à remettre en cause, mais simplement que la modélisation soit changée.

Etape 3 : Reporter les flux
En systémique, on dit qu'un flux qui entre, qui commande, est une consigne et un flux qui sort un résultat.
Sur le schéma, seuls seront reportés ceux relatifs au problème à résoudre c'est-à-dire, dans notre cas, les flux d'informations. La façon de dessiner les flux est laissée au libre choix de l'utilisateur de l'outil que guidera l'objectif de l'étude.

Etape 4 : Rendre le système observable
Un système est observable si l'observation d'un résultat permet de définir la consigne de façon unique.
S'il n'est pas possible d'observer le résultat d'une consigne, une commande de pièces par exemple, toute gestion devient impossible. Il faut donc pouvoir observer, contrôler l'activité de l'entreprise, ou d'un secteur particulier de celle-ci, afin que le gestionnaire puisse adapter, modifier ses consignes et ses décisions en fonction des résultats.

Etape 5 : Installer les feed-back
L'installation de rétroactions ou feed-back ou retour d'informations, doit permettre à l'entreprise de s'autoréguler, de s'auto-contrôler, de se stabiliser par rapport à ses objectifs, sa stratégie. Ainsi le gestionnaire n'aura pas à courir d'un secteur à l'autre pour assurer la bonne marche de l'entreprise : elle fonctionnera "toute seule".

On peut distinguer trois types de boucle de rétroaction :

On montre en cybernétique que les conséquences indirectes de l'installation de boucles de régulation sont d'augmenter l'observabilité et souvent d'augmenter les performances.
L'informatique peut être un atout important, pour la mise en place des feed-back, en réduisant à zéro les papiers et les délais d'acheminement.

Mise en garde :
La rédaction complète d'un petit exemple prendrait 10 à 20 pages. Il est donc hors de propos de développer complètement nos exemples, et le lecteur ne s'étonnera pas que de nombreuses possibilités du problème ne soient pas abordées ou menées à leur terme.

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6. APPLICATIONS

6.1 Exemple FEED-BACK 1

Une entreprise de mécanique conçoit et fabrique des pompes immergées qu'elle vend sur catalogue avec possibilité de personnaliser le mode de fixation. Elle produit également des pompes sur mesure.
Voici les différents services :

Le nouveau gérant désire améliorer le flux d'informations de la fonction technique (système BE-Bdm-Atelier) et crée, dans ce but, un groupe d'études.

Etape 1 : Comprendre le système étudié
a- Niveau de définition
Tout d'abord, analysons "le système entreprise". Si nous travaillons par analogie avec la structure des services, nous trouvons au premier niveau de définition le service commercial et les services BE, Bdm et atelier qui intéressent justement le gérant. Il est donc inutile de poursuivre l'analyse descendante.

b- Stratégie
La stratégie de la société est de satisfaire le client au niveau de la qualité des pompes et de leurs délais d'obtention.

c- Performances
Au moment de l'étude voici les performances de l'entreprise en termes de stratégie :

Qualité :

Délais :

d- Objectifs
Bien sûr, les objectifs sont définis suivant les deux grands axes de la stratégie (Qualité et Délais) mais aussi en fonction des résultats. Ils sont donc à redéfinir régulièrement.

Qualité : faire baisser le % de rebut

Délais : faire baisser les retards dus aux surcharges

Etape 2 : Modéliser la structure du système
La première représentation qui vient à l'esprit est, bien sûr, celle obtenue par analogie avec la structure des services de l'entreprise. Mais le groupe pluridisciplinaire, organisé dans le but de l'étude, met en évidence l'impossibilité, dans cette entreprise comme dans beaucoup d'autres, de dissocier le Bdm de l'atelier (conception des outillages, lancement et suivi de la production, etc.). L'analyse va donc se faire sur une structure plus simple et plus réaliste, celle des tâches :

Tout modèle pouvant être remis en cause, aucun ne pourra être admis comme définitif.

Etape 3 : Reporter les flux¶
Nous nous limiterons à l'étude du sous-système "Technique". Nous allons, pour chaque élément du système, rechercher les consignes et les résultats :

Elément

Consigne

Résultat

Syst. de Conception
Syst. de Production

Dossier de commande
Dessins de définition

Dessins de définition
Pompes

ce que l'on peut représenter schématiquement par :

On peut noter que la nature du flux change en traversant chaque élément : le flux est d'abord une information commerciale (la commande du client), ensuite des documents techniques (les plans de définition) et enfin des matières (les pompes). 

Remarque :
Une étude orientée sur l'aspect économique, aurait donné :

Elément

Consigne

Résultat

Syst. de Conception
Syst. de Production

Coût objectif
Coût prévisionnel

Coût prévisionnel
Coût réel

Etape 4 : Rendre le système observable
Comme la GPAO de type MRP regroupe les pièces et les commandes pour lancer des lots économiques, il est impossible en observant les pompes en cours de fabrication ou finies (résultat) de les attribuer à un et un seul dossier de commande (consigne). Par conséquent, le système n'est pas observable.
Si nous nous intéressons aux deux sous-systèmes, celui de conception est observable puisqu'il existe un dossier par commande qui contient les dessins de définition standards et spécifiques. Quant à celui de production, il ne l'est pas, puisqu'il utilise la gestion MRP.
Pour rendre observable la GPAO, il suffit de la reprogrammer afin qu'elle ne regroupe pas les commandes et ne lance que les quantités commandées. Ces possibilités sont disponibles sur de nombreuses GPAO-MRP par les options :regroupement nul et quantité économique égale à un. Cela revient d'ailleurs à gérer à la commande. Le système est maintenant observable et l'on peut contrôler globalement ses activités.

Etape 5 : Installer les feed-back
En installant des boucles de rétroaction ou feed-back, nous devons tout d'abord contribuer à augmenter la stabilité de cap vers l'objectif. Cette notion est appelée "ultra stabilité" en cybernétique. La prise d'informations se fait toujours sur la sortie du système étudié. Pour notre exemple, il y a trois types de boucles évidentes :

La boucle B3 sera une auto-régulation du sous-système de production alors que B2, qui est un feed-back inter-module, stabilisera le système. Quant à la boucle B1 elle permettra de contrôler les dérives.

Globalement il est inefficace, voire impossible, de faire remonter toutes les informations concernant les résultats de la production. Il faut donc filtrer l'information. Pas question, pour B2 par exemple, de remonter les caisses de pièces au BE, ni même tout le dossier d'industrialisation ! Une représentation plus complète de B2 est :

Le filtre installé sur la boucle de feed-back doit permettre au système de se mettre en "ultra stabilité" par rapport à la stratégie ou les objectifs.
Le groupe de travail doit donc rechercher les données, les variables, les documents les plus adaptés et définir un filtre réaliste qui puisse mettre le système en autocontrôle, c'est-à-dire en "pilotage automatique" vers l'objectif de l'entreprise. Voici les résultats partiels obtenus pour l'exemple :

 

FEED-BACK B3
C'est l'objectif délai qui est pris en compte et notamment le fait que les commerciaux sont obligés de descendre à l'atelier pour "accélérer" les commandes en retard.
Filtre B3 : le nombre et le type de pompes des commandes en retard seront affichés au jour le jour.

FEED-BACK B2
Une recherche du groupe permet de mettre en évidence que le BE n'est pas toujours conscient des difficultés d'usinage de certaines formes, aussi le filtre est défini dans l'optique qualité comme suit :
Filtre B2 : les documents à remonter au BE seront les dessins de définition des pièces rebutées à cause de difficulté d'obtention de forme, avec indication en rouge du problème et du nombre de rebuts.

FEED-BACK B1
Le ratio : Temps prévu / Temps réel, est un filtre synthétique pour les délais. En effet il est indépendant du type de pompe produit. Aussi, c'est un excellent indicateur qui doit faire partie du tableau de bord du gestionnaire.
Filtre B1 : le ratio Temps prévu sur temps réel sera calculé pour chaque commande et retourné au gestionnaire.
Quelque temps plus tard, voici le bilan de l'étude :

Devant des résultats aussi favorables, et compte tenu de l'investissement quasi inexistant, l'entreprise décide de continuer à utiliser l'outil "feed-back".

6.2 Exemple FEED-BACK 2

Le gérant de l'entreprise ayant beaucoup de difficultés à suivre les activités du secteur de la production (Bdm+Atelier), il décide de piloter un groupe qui améliorera la circulation des informations de ce sous-système.

Etape 1 : Comprendre le système étudié
Puisque nous avons déjà étudié le premier niveau de définition de l'entreprise à l'exemple précédent, les limites, stratégie et objectifs sont déjà connus. Bien sûr, nous repartons du système amélioré (voir exemple 1) afin de pouvoir faire l'analyse descendante tout en restant fidèle au principe de totalité.

Etape 2 : Modéliser la structure du système
Nous prendrons notre analogie avec la structure du travail. Le groupe détermine donc un graphe représentant cette structure de tâches :

Nota : Dans le groupe, chacun doit comprendre et accepter que d'autres puissent "voir" le même système de manière différente ; le modèle adopté est donc souvent un compromis.

Etape 3 : Reporter les flux
En possession du dessin de définition, un technicien détermine la chronologie des opérations à partir d'une gamme type. Puis il décrit plus précisément le processus sur des contrats de phases. Il les transmet à la gestion de production et à l'atelier. Les phases les plus complexes, qui nécessitent une étude particulière (programmation CN 3D, par exemple), sont confiées à un spécialiste qui fournira à l'atelier la fiche programme. Le gestionnaire de production "entre" les phases dans la GPAO et les planifie. Il obtient les OF, ou ordres de fabrication, ainsi que les OA ou ordres d'approvisionnement en outillages spécifiques et standards. L'atelier est informé de leur présence grâce aux BL, ou bons de livraison. Enfin l'atelier dépose au magasin les pompes finies et renvoie un "feed-back" à la GPAO (suivi des temps). L'ensemble de ses flux d'informations doit être représenté sur le schéma :

 

Etape 4 : Rendre le système observable
Nous allons étudier les modules qui composent ce système de production en commençant par le système atelier.
L'atelier est commandable, mais par plusieurs consignes :

Un élément, un module qui reçoit des consignes redondantes est un centre de décision.
Pour notre application, supposons que l'on retrouve, par exemple, la quantité sur les quatre consignes. L'atelier devient un centre de décision puisque le chef d'atelier doit vérifier que la quantité indiquée sur les différents documents est bien la même, et si ce n'est pas le cas, prendre une décision (CQFD).
L'observabilité est bonne puisque les pompes sont attribuées à une commande (cf. exemple 1).
Pour rendre ce sous-système plus observable il suffit d'informer le chef d'atelier de son rôle de décideur. Ainsi, est-ce à lui que revient la tâche de vérifier si tous les documents sont conformes entre eux. L'enquête du groupe de travail l'amène d'ailleurs à s'apercevoir que les 4% de rebuts qui restent après la première étude proviennent, pour une partie, de la non-conformité de certains documents (la GP a inversé deux phases interchangeables pour avoir un meilleur planning, l'étude de phase a amené une modification de la prise de pièce, la réalisation de l'outillage n'a pu être faite comme prévu, etc.).

Etape 5 : Installer les feed-back
L'installation d'un feed-back au moins, est conseillé. Il s'agit de boucler la sortie sur l'entrée, c'est à dire, d'informer le préparateur des gammes de la réalité de la production. Voici une définition possible du filtre :

FILTRE DU FEED-BACK B4
Le chef d'atelier retournera au préparateur tous les documents non conformes au contrat de phase en entourant en rouge ce qui diffère.
Filtre que l'on a représenter sur le schéma : 

Il est fort à parier que ce filtre permettra également de faire baisser le pourcentage de rebuts et ainsi le "zéro défaut" peut devenir une réalité. De plus, ce filtre va permettre de tenir à jour les gammes types et donc, d'augmenter la mémoire de "savoir-faire" de l'entreprise, ce qui est extrêmement important dans le cas d'une nouvelle embauche par exemple.
Il reste d'autres filtres moins généraux à installer mais déjà le groupe doit s'interroger sur le fait que l'atelier "tourne" mieux depuis l'installation du filtre B3 (voir exemple 1) :
Filtre B3 : le nombre et le type de pompes des commandes en retard seront affichés au jour le jour.
Et ce, malgré une baisse des ratios de productivité .... Est-ce normal ? Une nouvelle étude est donc à envisager. Comme notre cône de définition est arrivé au niveau de l'unité de production, nous reportons le lecteur au modèle systémique d'un atelier : OPTTM (voir page271, 223), qui continue l'analyse descendante jusqu'à la machine.

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7. CONCLUSION

Tout au long de l'étude de cet outil, nous avons découvert une partie de la démarche systémique que Stafford Beer nomme la "cybernétique de gestion" et qui est bien adaptée à la gestion de production notamment pour en faire le diagnostic. Nous avons vu qu'optimiser le système passait par l'augmentation de l'observabilité et que l'installation d'un feed-back avait toujours de nombreux effets positifs sur l'entreprise. L'objectif à long terme des boucles de régulation est de mettre le système entreprise en état "d'ultra stabilité", c'est-à-dire de lui permettre de se recaler automatiquement sur ces objectifs ou sa stratégie.
Quand l'étude a réussi, l'entreprise est dotée d'une meilleure structure de contrôle dont elle connaît les modèles à chaque niveau de hiérarchie. Les gains peuvent être chiffrables : augmentation du chiffre d'affaires, mais le plus souvent ils s'évalueront en fidélisation de la clientèle, diminution du stress dans les services, efficacité accrue des politiques à long terme. En un mot : meilleure organisation.

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8. POUR ALLER PLUS LOIN

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SH & MP le 31/05/99